Je sens comme une douceur
Bien au-delà des mots
J'interprète les signes
Je lis entre les lignes
Pourquoi tous ces secrets
Pourquoi tant de silence
Et toutes ces douleurs
Qui lui rongent les os
Et puis cette lancinance
Faite de vide et d'absence
Je cherche en vain sa trace
Dans les miroirs du Temps
Je crains qu'il ne se lasse
Ou d'en faire tout autant
On jette souvent ses rêves
On les piétine sans trêve
Mais tous ces souvenirs
Les façonner de riens
Une tendresse un sourire
Un rire d'enfant au loin
Caresser ces doux-leurres qui berceraient mon âme partant pour le néant.
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